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Merci d’avoir répondu au quizz, les réponses ne sont pas justes mais sachez que vous êtes libre de le dire, et d’exprimer vos convictions, n’hésitez pas à consulter notre site internet pour en savoir plus.
Bravo vous avez de bonnes connaissances sur vos droits d’expression, pour ce que vous ne savez pas, n’hésitez pas à consulter notre site internet, car vous êtes libre de le dire !
Bravo vous êtes bien informé que vous êtes libre de le dire et d’exprimer vos convictions là ou vous êtes !
A l’école publique, un élève peut-il parler de ses convictions religieuses à un camarade de classe ?
Exact !
Si l’école publique est laïque, c’est-à-dire « sans opinion religieuse », les elèves ont le droit à la liberté d’opinion, de conscience et de religion et à la liberté d’expression. Les conversations entre les élèves sont libres, y compris sur le thème des convictions religieuses. Bien entendu, les élèves doivent respecter entre eux la liberté de chacun de croire ou non, de pouvoir écouter l’autre ou non, sans pression aucune. D’ailleurs les élèves peuvent même parler de leurs convictions en classe, dans la mesure où cela se fait dans la tolérance, sans perturber le cours et avec l’encadrement du professeur. La tolérance s’apprend en effet à l’écoute de la différence.
(PIDCP, art 18 et 19, CESDH art.9 et 10, Education nationale Circ.N°2004-084)
Inexact …
Si l’école publique est laïque, c’est-à-dire « sans opinion religieuse », les elèves ont le droit à la liberté d’opinion, de conscience et de religion et à la liberté d’expression. Les conversations entre les élèves sont libres, y compris sur le thème des convictions religieuses. Bien entendu, les élèves doivent respecter entre eux la liberté de chacun de croire ou non, de pouvoir écouter l’autre ou non, sans pression aucune. D’ailleurs les élèves peuvent même parler de leurs convictions en classe, dans la mesure où cela se fait dans la tolérance, sans perturber le cours et avec l’encadrement du professeur. La tolérance s’apprend en effet à l’écoute de la différence.
(PIDCP, art 18 et 19, CESDH art.9 et 10, Education nationale Circ.N°2004-084)
Un élève peut-il prier à l’école publique ?
Exact !
Dans la mesure où l’expression de sa prière ne perturbe ni les autres, ni le bon déroulement des enseignements, un élève peut prier dans l’enceinte de l’école.
La prière n’est qu’une parole adressée à Dieu. Que l’on croit en Dieu ou non, la prière fait partie de la liberté d’expression. Cette liberté s’exerce tant qu’elle ne gêne pas autrui, dans sa forme.
Un élève peut tout à fait prier intérieurement ou discrètement avec un autre camarade. Qui pourrait empêcher un enfant croyant de prier pour remercier avant son repas, pour avoir de l’aide pour son évaluation ou soutenir un autre enfant malade ?
(PIDCP, art 18 et 19, CESDH art.9 et 10)
Inexact …
Dans la mesure où l’expression de sa prière ne perturbe ni les autres, ni le bon déroulement des enseignements, un élève peut prier dans l’enceinte de l’école.
La prière n’est qu’une parole adressée à Dieu. Que l’on croit en Dieu ou non, la prière fait partie de la liberté d’expression. Cette liberté s’exerce tant qu’elle ne gêne pas autrui, dans sa forme.
Un élève peut tout à fait prier intérieurement ou discrètement avec un autre camarade. Qui pourrait empêcher un enfant croyant de prier pour remercier avant son repas, pour avoir de l’aide pour son évaluation ou soutenir un autre enfant malade ?
(PIDCP, art 18 et 19, CESDH art.9 et 10)
L’école publique a une mission d’enseignement et d’éducation qui prévaut sur les choix des parents ?
Exact !
Non, l’école doit respecter la liberté de conscience des parents et des enfants.
Les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants en vertu de l’autorité parentale. Ils disposent de la priorité éducative sur tout autre intervenant.
L’Etat, dans sa mission éducative, doit respecter le droit des parents d’assurer l’éducation et l’enseignement, conformément à leurs convictions religieuses et philosophiques. Les parents ont le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants, particulièrement lorsqu’il s’agit de questions morales, religieuses ou philosophiques. Ainsi les connaissances figurant au programme doivent être diffusées de manière objective, critique et pluraliste. L’État doit se retenir de tout endoctrinement des enfants ou de tout prosélytisme.
La liberté pédagogique des enseignants ne les soustrait pas de l’obligation de neutralité de l’école publique quant aux convictions.
Dans le cas où l’enfant ou les parents seraient heurtés dans leurs convictions par l’enseignement ou les méthodes utilisés par l’enseignant, il est conseillé de prendre rendez vous avec l’enseignant pour en parler calmement. L’enseignant comprendra en général le problème et se rendra plus attentif au respect des convictions de l’élève ou de sa famille.
(Convention des droits de l’Enfant, art.14, CESDH, Protocole additionnel 1, Article 2,code civil, article 371-1)
Inexact …
Non, l’école doit respecter la liberté de conscience des parents et des enfants.
Les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants en vertu de l’autorité parentale. Ils disposent de la priorité éducative sur tout autre intervenant.
L’Etat, dans sa mission éducative, doit respecter le droit des parents d’assurer l’éducation et l’enseignement, conformément à leurs convictions religieuses et philosophiques. Les parents ont le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants, particulièrement lorsqu’il s’agit de questions morales, religieuses ou philosophiques. Ainsi les connaissances figurant au programme doivent être diffusées de manière objective, critique et pluraliste. L’État doit se retenir de tout endoctrinement des enfants ou de tout prosélytisme.
La liberté pédagogique des enseignants ne les soustrait pas de l’obligation de neutralité de l’école publique quant aux convictions.
Dans le cas où l’enfant ou les parents seraient heurtés dans leurs convictions par l’enseignement ou les méthodes utilisés par l’enseignant, il est conseillé de prendre rendez vous avec l’enseignant pour en parler calmement. L’enseignant comprendra en général le problème et se rendra plus attentif au respect des convictions de l’élève ou de sa famille.
(Convention des droits de l’Enfant, art.14, CESDH, Protocole additionnel 1, Article 2,code civil, article 371-1)
A l’école, des différences peuvent-être faites entre les élèves en fonction de leur appartenance religieuse ?
Exact !
Non, car l’égalité de toutes les croyances va de pair avec la laïcité. Les élèves, ainsi que leurs parents, doivent être traités de manière égale au sein de l’école. L’enseignant doit se montrer neutre vis-à-vis des convictions exprimées par un élève, par exemple dans une copie de philosophie, une rédaction ou à l’oral. Il peut toutefois sanctionner la qualité de la rédaction ou de l’exposé.
Cependant, il peut être tenu compte de la liberté de religion de l’élève à certains égards. Des autorisations d’absence peuvent être accordées aux élèves pour les grandes fêtes religieuses qui ne coïncident pas avec un jour de congé et dont les dates sont rappelées chaque année par une instruction publiée au B.O.
Les mairies, pour les services de cantines, peuvent proposer des menus différenciés dans les cantines scolaires pour accommoder les régimes alimentaires spécifiques (par exemple sans porc, sans viande…), dont certaines peuvent être liées aux prescriptions religieuses .
(Code de l’éducation art.L.141-2, Ministère de l’Education Circ. 2004-084)
Inexact …
Non, car l’égalité de toutes les croyances va de pair avec la laïcité. Les élèves, ainsi que leurs parents, doivent être traités de manière égale au sein de l’école. L’enseignant doit se montrer neutre vis-à-vis des convictions exprimées par un élève, par exemple dans une copie de philosophie, une rédaction ou à l’oral. Il peut toutefois sanctionner la qualité de la rédaction ou de l’exposé.
Cependant, il peut être tenu compte de la liberté de religion de l’élève à certains égards. Des autorisations d’absence peuvent être accordées aux élèves pour les grandes fêtes religieuses qui ne coïncident pas avec un jour de congé et dont les dates sont rappelées chaque année par une instruction publiée au B.O.
Les mairies, pour les services de cantines, peuvent proposer des menus différenciés dans les cantines scolaires pour accommoder les régimes alimentaires spécifiques (par exemple sans porc, sans viande…), dont certaines peuvent être liées aux prescriptions religieuses .
(Code de l’éducation art.L.141-2, Ministère de l’Education Circ. 2004-084)
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